vendredi 25 janvier 2013

manifestation du 31 janvier 2013

Mobilisation intersyndicale et interprofessionnelle le 31 janvier

On ne laissera pas plumer les salariés
Stop aux accords régressifs
Oui a l’emploi et à l’augmentation des salaires

Les organisations syndicales CGT, FSU, Solidaires et UNEF se sont réunies le 16 janvier pour préparer la journée de mobilisation du 31 janvier.
Au départ, cet appel concernait les trois fonctions publiques. Mais, au regard de la gravité de l’accord interprofessionnel qui va être discuté par les députés pour être transposé dans la loi, l’intersyndicale a estimé que cet accord qualifié d’historique par le Gouvernement est sans aucun doute un grand retour en arrière.
Pour l’intersyndicale, il est qualifié de préhistorique.
Nous récusons les propos du MEDEF qui prétend que « les licenciements d’aujourd’hui seront les emplois demain ». C’est grave et irresponsable !
Cet accord de flexibilité qui permettra de licencier sans raison, de baisser les salaires, d’exiger la mobilité va plonger notre pays dans la récession, et augmenter la précarité. Ce gouvernement ne peut pas n'avoir que des déclarations incantatoires sur la prise en compte de la précarité, de l’égalité femmes/hommes et sur la relance de l’industrie pour faire strictement l’inverse en répondant aux désirs du MEDEF et des financiers.

Aussi le 31 janvier, l’intersyndicale appelle

à une journée de grève et à une manifestation

à 11h 30 place de la République.

Elle a décidé d’un déploiement auprès des salariés pour informer du contenu de l’accord.

dimanche 20 janvier 2013

Elections chambre agriculture 2013



 

 

Elections
Chambres d’Agriculture 2013
VOTEZ CGT
Votez revendicatif

Les salariés des professions agricoles auront à élire leurs représentants aux élections chambres d’agriculture en Janvier 2013 dans deux collèges bien distincts : le collège 3A pour les salariés de la production agricoles :

Il s’agit d’un moment important de démocratie sociale dont les enjeux sont importants tant les pouvoirs économiques  et sociaux de ces Chambres sont réel.

Les conséquences sociales des politiques patronales et du gouvernement deviennent de plus en plus insupportable pour les salariés dans un secteur où les conditions de travail sont souvent très pénibles et où les salaires sont de misère.

Nombreux sont ceux qui, même avec un emploi n’arrivent plus à se loger, se nourrir, joindre les deux bouts, du fait de la faiblesse des salaires

Le nombre des accidents de travail et des maladies professionnelles explose littéralement, du fait de la dégradation des conditions de travail et dans le même temps, la protection sociale et les retraites sont remises en cause, la Mutualité Sociale Agricole (MSA) attaquée, la santé privatisée.

En agriculture, au nom de la saisonnalité en agriculture, la précarité de l’emploi devient la règle, de plus en plus de salariés cumulent les contrats saisonniers et les petits boulots.

80% des salariés agricoles sont payés au SMIC et cela serait encore trop !!!!

 

Face à cette situation la CGT agit !
 


 

 

 


Pour un salaire décent

Nous n’accepterons jamais des propositions  qui ne font que précariser et paupériser les salariés ! Nous revendiquons lors des réunions de la Commission mixte paritaire départementale l’amélioration des conditions d’emploi et la création de droits nouveaux pour les salariés des productions agricoles.

Cette Commission réunit les représentants des syndicats d’employeurs et de salariés, pour négocier tous les aspects de la vie professionnelle, abordés pas la convention collective départementale.

On y négocie notamment les salaires. Les représentants CGT ne signent jamais d’accord salarial qui entérine la stagnation ou même la baisse des salaires voulue par le patronat ce qui n’est pas le cas pour certaines organisations syndicales salariés qui signent de suite.

Dans la Gironde, alors qu’une forte attente s’exprimait pour l’augmentation des salaires des salariés agricoles  lors de la négociation du 19 septembre 2012, la CGT considère inacceptable les propositions patronales.

 La CGT ne peut se satisfaire d’une augmentation de 1,4% proposée par le patronat. Cela fait trop longtemps que les salariés agricoles sont mal menés. Les salariés de la production agricole font partie de ceux qui sont les plus mal payés dans notre pays.

Et pourtant le patronat agricole est celui qui bénéficie le plus d’exonération de cotisations patronales et d’aides.

 Cherchez l’erreur !

Pour une véritable reconnaissance des qualifications et des emplois stables

Il est indispensable  que le SMIC soit porté à 1850 euros  brut (cela fait environ  1433 euros en net), parce que l’augmentation du pouvoir d’achat est un besoin réel et urgent pour les salariés.

De plus les qualifications ne sont pas reconnues. Par exemple un ouvrier qualifié capable de planifier son travail, de prendre des initiatives, de diriger un chantier en l’absence de l’employeur ou d’un cadre, n’est payé que 1,71 euros de plus de l’heure que le SMIC. Quelle perspective pour les salariés !

En agriculture nous avons des saisonniers «permanents» dont le SMIC reste la seule règle et qui ne bénéficient pas d’indemnités de précarité ni des avantages conventionnel.

Nous revendiquons des emplois en CDI à temps complets avec une grille salariale qui acte une véritable reconnaissance des qualifications.

Pour une retraite à 55 ans à taux plein

Les travaux pénibles, insalubres imposées aux salariés de nos professions agricoles, exigent la satisfaction urgente de cette revendication avec un départ à la retraite à 55 ans à taux plein.

 

 

Le patronat de l’industrie utilise souvent l’agriculture comme laboratoire de la déréglementation sociale.
La mondialisation et la concurrence sont mises en avant pour encore précariser un peu plus le travail et peser sur les salaries. Face à une telle situation,
la CGT avance  des revendications à satisfaire de façon urgentes.

 

Bientôt vont avoir lieu les élections
à la Chambre d’Agriculture,
ces élections sont particulièrement importantes.
C’est un vote par correspondance entre le 21 et 31 janvier.

 


C’est votre vote dans le collège de la production agricole,
qui déterminera la représentativité de la CGT et qui permettra à nous

tous, salariés des productions agricoles de la Gironde

de défendre et d’acquérir de nouveaux droits.

 

Au-delà de cette élection, il reste énormément à faire en matière de défense du pouvoir d’achat, d’améliorations de nos conditions de travail, de droit à la formation, de lutte contre la précarité de l’emploi… Nous vous appelons à prendre contact avec nous pour rejoindre nos luttes de la façon qui vous conviendra, par exemple en participant aux négociations de la commission mixte.

 

L’Agriculture, c’est l’avenir,
nous en sommes des maillons essentiels.

 

Partons de nos revendications
et défendons nos droits !

 

ELECTIONS CHAMBRE D’AGRICULTURE :
VOTEZ CGT !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Collectif Agriculture CGT Gironde, 44 cours Aristide Briand , 33200 Bordeaux

Tel 05 57 22 71 40 l fax 05 56 02 38 19 l http://www.cgt-gironde.org l E-mail : ud@cgt-gironde.org

 

FNAF Fédération Nationale Agroalimentaire et de la Forêt - CGT, 263 rue de Paris, case428, 93514 MONTREUIL Cedex

Tél. 01 48 18 83 27 – fnaf@fnaf.cgt.fr

vendredi 18 janvier 2013

Securisation de l'emploi

Négociations 'Sécurisation de l'emploi'

Le Medef s’obstine à exiger plus de flexibilité :

votre intervention est indispensable !

La demande du gouvernement, Syndicats et patronat ont engagé une négociation nationale interprofessionnelle. Les conclusions, attendues pour la fin Décembre 2012, sont susceptibles d’être retranscrites dans une loi et donc un débat parlementaire au début de l’année 2013. Mais les dernières propositions du Medef sont toujours une véritable provocation. Chacun d’entre vous peut mesurer qu’elles conduisent à une impasse économique et sociale, les salariés toujours plus considérés comme variable d’ajustement des choix patronaux.
Après avoir touché 20 milliards d’aides publiques, le Medef en veut plus : licencier plus vite, plus facilement, moins cher et sans contrôle.
Les positions du Medef sont à ce point inacceptables que, pour l’instant, tous les syndicats les ont rejetées. La partie n’est cependant pas terminée, les négociations reprennent les 10 et 11 janvier 2013.
La CGT ne laissera pas faire, c’est votre avis qui doit compter dans cette négociation.
Face à l’urgence sociale nous proposons à la fois des mesures immédiates et d’autres de nature à transformer durablement le quotidien des salariés.
C’est une révolution dans le Code du Travail qui se prépare. La CGT vous informe et vous alerte. Prenez connaissance de ce qui vous menace :

Le contrat de projet : nouveau contrat précaire

Il existe déjà une multitude de contrats de travail qui permettent une extrême souplesse pour les employeurs et qui provoque une extrême précarité pour les salariés (Temps partiel, CDD, contrats de chantier, saisonnier, intérimaire, aidé, intermittent, d’alternance,… bientôt contrat de génération et contrat d’avenir).
Le Medef innove encore avec le contrat de projet : Votre employeur pourrait vous employer demain en CDI de projet qui n’a de CDI que le nom puisque vous pourriez être licencié dès la fin de la tâche confiée. Cela pouvant se produire à tout moment et sans l’application des droits liés à un licenciement économique. Vous n’auriez aucune indication précise sur la fin de votre contrat. Comment construire votre avenir, obtenir un logement ou un crédit bancaire face à une telle incertitude ?

La mobilité… forcée

Votre employeur pourrait vous muter sur un autre site de travail situé à 50 km ou augmenter votre temps de trajet de 45 minutes avec comme conséquences une forte amplitude de votre journée et des frais de transport accrus. En cas de refus de votre part, direction la porte ! Le chantage à l’emploi, l’arme pour déréglementer.
Déjà aujourd’hui, au nom de la compétitivité et sous prétexte de crise, la plupart des entreprises, quelle que soit leur situation financière, exercent le chantage à l’emploi (gel des salaires, augmentation des cadences et des amplitudes de travail, recours aux contrats précaires…) mais elles sont obligées de respecter les clauses de votre contrat de travail.
Demain, le Medef veut se débarrasser des clauses individuelles du contrat de travail : dès lors qu’un accord collectif serait passé dans l’entreprise pour soi disant « préserver l’emploi », tout salarié serait contraint d’accepter une baisse de son salaire, une modulation du temps de travail, un changement d’affectation de son lieu de travail, une détérioration des conditions de travail…
Alors qu’aujourd’hui votre entreprise ne peut agir ainsi sans votre accord, demain en cas de refus vous seriez licencié pour motif économique mais sans reclassement et avec des indemnités minorées. Vous seriez en plus privé de votre droit de recours devant un juge !

Droit du travail : la Jungle contre l’État de droit !
…Et si on pouvait faire travailler gratuitement !

Aujourd’hui, vous avez 5 ans pour réclamer les salaires payés ou contester tout manquement de votre employeur. Le patronat veut ramener ce délai de prescription à 18 mois.

CE, CHSCT : des moyens d’intervention réduits

Aux yeux du Medef le comité d’entreprise et le CHSCT constituent une entrave à la liberté de gestion des employeurs. Le Medef veut donc réduire leurs prérogatives.

Plus de chômeurs moins d’indemnités

Aujourd’hui, moins d’un salarié sur deux est indemnisé par l’allocation chômage, les femmes, les jeunes ayant peu travaillé sont les plus pénalisés. C’est l’état, avec l’argent public, qui vient de plus en plus en aide aux chômeurs par l’attribution de diverses allocations : les entreprises licencient, la collectivité paie ! Le patronat veut bien revoir le mécanisme d’indemnisation des chômeurs… mais à coût constant. Autrement dit, ceux qui sont indemnisés devront accepter une diminution de leurs droits pour que d’autres en bénéficient.
Pour le patronat, c’est aux salariés de se débrouiller des conséquences de la crise !
Pour la CGT : C’est NON  ! Face à l’urgence sociale, à la précarité galopante, à l’explosion du chômage ; il faut des garanties nouvelles pour les salariés, des emplois stables et bien rémunérés, des droits nouveaux d’interventions sur la stratégie des entreprises, un parcours professionnel attractif et sécurisé, une protection sociale de haut niveau.





 



Voulue par l’exécutif lors de la conférence sociale de juillet 2012, la négociation sur la réforme du marché du travail s’est achevée vendredi 11 janvier. Au terme de trois mois de négociations durant lesquels la partie patronale a campé sur des positions très régressives pour les droits individuels et collectifs des salariés, un accord a été soumis à la signature des organisations syndicales dont trois ont indiqué qu’elles parapheraient le texte (CFDT, CFTC et CGC).
La CGT et FO se sont quant à elles clairement opposées au texte : "l’accord est inacceptable de notre point de vue", a déclaré Agnès Le Bot dirigeante nationale de la CGT, qui a prévenu que "la partie n’était pas finie".
Lire le communiqué de la CGT sur ce sujet

Bernard Thibault invité sur Europe 1 "La Cgt ne signera pas l'accord !"

Bernard Thibault, invité de Nicolas Poincaré pour Europe 1 soir, a confirmé l’avis négatif de la CGT sur l’accord national interprofessionnel du 11 janvier 2013 qui modifierait profondément le Code du Travail.

Jugez sur pièces !

tract Santee Sud Gironde

 
                     
LA CGT CONFORME AUX ENGAGEMENTS
PRIS AVEC LES PERSONNELS


Dans la continuité de nos nombreuses actions et du communiqué intersyndical du 18 décembre où nous annoncions que nous ne siégerions plus aux instances tant que la direction :
                   1 - ne supprimera pas les plannings en 6H
                   2 - ne voudra pas négocier le Plan de Retour à l'Equilibre (PRE)

         Nous avons alerté l'ARS et les élus politiques que ce PRE, contrairement à ce qu'affirme la directrice,  n'a été ni validé en COPIL, ni présenté aux instances, et est donc illégal.

Les plannings en 6H ayant été retirés grâce à la mobilisation de tous, l’intersyndicale a adressé un courrier à la direction pour négocier le PRE à partir du 26 février (voir courrier au dos).
La directrice n'ayant, semble t-il, toujours pas compris ce que dialogue social et respect des représentants syndicaux veut dire...nous convoque le 14 février en argumentant l'urgence de la situation! Jusqu'à présent, la direction ne voyait pas d'urgence, malgré les fortes mobilisations organisées par la CGT depuis le printemps dernier.
La CGT ne se rendra pas à cette rencontre du 14


LA CGT CONTINUE A PRENDRE SES RESPONSABILITES
ET ATTEND UNE CONVOCATION QUI CORRESPOND
A LA DEMANDE DE L'INTERSYNDICALE

Une AG est prochainement prévue.

Pour rappel, quelques mesures de ce PRE :   
                                     * suppression de RTT
                                      * suppression de jours non maladie
                                      * allongement de la durée d'évolution de carrière
                                      * gels de postes


le 14/02/13

                                                             

du Centre Hospitalier           

    du Sud Gironde





La direction continue d’ignorer les personnels et convoque ceux qui travaillent en 6h à une réunion service par service pour « débattre ».


IL EST INACCEPTABLE


*de faire rattraper les heures supplémentaires souvent générées par des rappels sur repos par tranche d’1h30 !

*de ne pas entendre la grogne des personnels !

*d’ignorer la forte mobilisation du 18 décembre !




LA DIRECTION NE VEUT PAS ENTENDRE ?

ALORS,

FAISONS PLUS DE BRUIT



TOUS ENSEMBLE

VENONS LUI DIRE

NON


LE 21 JANVIER A 13H45 EN MEDECINE A ET B

LE 22 JANVIER A 14H15 EN MEDECINE C

LE 25 JANVIER A 13H45 EN CHIRURGIE


Avant tout préalable à l’ouverture des négociations qui nous permettront ensuite de revenir siéger aux instances,

nous demandons l’abrogation immédiate des 6h.